
Dans le À faire, il y a l’Assemblée nationale qui a adopté le projet de loi 116 en un temps record. Imaginer si les parlementaires pouvaient collaborer ainsi à longueur d’année. Il est fort probable que le CHUM serait déjà dû pour des rénovations de mise à jour. Mais comme vous savez, ce n’est pas demain la veille qu’on va s’y faire soigner. Remarquez, c’est peut-être une nouvelle approche médicinale? Une nouvelle façon de traiter les patients. À attendre de la sorte, plus besoin de somnifère!
Mais revenons au métro puisque ça, ça va et ça vient. Revenons-y surtout parce qu’il y en a plus, À ne pas faire qu’à faire. Comme signer de gré à gré une première entente en affirmant être blindé. Tout de même curieux que 4 ans plus tard, on affirme qu’on n’est pas à l’abri de poursuite. Ceci étant donné que l’on vit dans un monde démocratique où tout le monde est libre de poursuivre lui ou l’autre s’il se sent lésé.
Peut-être une preuve qu’il est préférable d’éviter le discours triomphant lorsqu’il y a des gros sous en jeu et qu’on tente de favoriser l’un au détriment de l’autre?
Il y a le ministre des Transports Sam Hamad qui parle d’une décision dans l’intérêt supérieur du Québec. Ce qu’on pourrait, sans crainte de se tromper, qualifier d’inflation verbale également à classer dans le À ne pas faire. Le genre d’expression qui cherche à donner plus d’importance qu’il ne le faut à une décision quelconque ou une quelconque décision.
Surtout, il ne faut pas oublier qu’on est passé d’une valeur de 3,5 millions par voiture à 2,6 millions. Alors que d’autres parlent pouvoir faire le même travail pour 1,4 million. Pour sa part, le nombre de voitures est passé de 342 à 1053 pour revenir à 500 unités.
Tout cela donne l’impression que l’entreprise espagnole CAF n’aura été dans tout ça, qu’un faire-valoir. Sa présence n’aura été utilisée que pour faire baisser les prix. À moins que le dernier délai n’ait servi qu’aux avocats qui ont fait vérification par-dessus vérification afin d’éviter que le dossier ne ressemble à celui du CHUM. Ce qui expliquerait le retour du nombre de voitures de 1053 à 500.
Dire que certains se pètent les bretelles comme si le ciel n’avait jamais été si bleu à La Pocatière. Sous l’angle du leadership par contre, on comprend que sous le couvert nuageux se cache ce qui est À faire et À ne pas faire.
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